L'adoption de la réforme constitutionnelle conduit à s'interroger sur la pertinence de la stratégie du Parti socialiste. Au final, il n'aura été ni en capacité de faire échec à cette réforme ni en situation de l'infléchir. Ce résultat est le fruit d'une double erreur d'appréciation.
La première est d'avoir considéré que l'opposition était en mesure de réunir une minorité de blocage puisqu'une majorité qualifiée de trois cinquièmes est nécessaire pour l'adoption d'un texte de nature constitutionnelle. L'attitude du PS a été guidée par l'idée qu'il était possible d'infliger une défaite au président de la République ou, tout au moins, de ne pas "lui donner une victoire". En posant des conditions, notamment sur le Sénat, qu'il savait impossible à satisfaire par le gouvernement et la majorité, le Parti socialiste s'est mis, d'emblée, en situation de ne pas voter ce texte. De nombreux parlementaires socialistes qui ont cru sincèrement à cette stratégie découvriront bien tard que la majorité parlementaire disposait arithmétiquement à elle seule des trois cinquièmes des votes pour permettre son adoption ! En outre, en politisant fortement le vote du Congrès dans la dernière semaine, le PS a permis à la majorité de se ressouder, les parlementaires de droite hostiles à cette réforme préférant la voter plutôt que de "jouer contre leur camp".
L'autre erreur d'appréciation concerne le contenu de la réforme elle-même. Obnubilés par la pratique institutionnelle "hyperprésidentielle" de l'actuel président de la République, les socialistes ont voulu voir dans cette réforme la volonté d'inscrire dans la Constitution le renforcement des pouvoirs présidentiels. Cette perception est pour l'essentiel erronée. Le président de la République ne gagne aucun pouvoir nouveau, hormis celui de s'exprimer devant le Parlement réuni en Congrès.
Il faut beaucoup de mauvaise foi pour considérer que cette disposition symbolique, très en retrait par rapport au souhait de Nicolas Sarkozy de pouvoir s'adresser à tout moment à chaque Assemblée, bouleversera le régime. En revanche, un certain nombre des pouvoirs du président sont encadrés comme celui de nomination. On peut discuter du degré d'encadrement du dispositif proposé, mais il est difficile de le récuser alors que, durant quatorze ans, François Mitterrand et les socialistes se sont accommodés du système actuel.
En réalité, cette réforme s'est attelée à revaloriser les pouvoirs du Parlement et à donner des droits nouveaux aux citoyens. Ce choix a été celui du comité Balladur qui, à juste titre, a estimé que l'urgence était de palier le déséquilibre né de l'adoption du quinquennat et de l'inversion du calendrier électoral. Face à la toute-puissance de l'exécutif, il est impératif de donner plus de pouvoirs au Parlement, notamment en matière de contrôle.
Certains regrettent que cette évolution se fasse au détriment du premier ministre. Outre qu'il paraît difficile de revaloriser le Parlement sans restreindre les pouvoirs du gouvernement, il aurait fallu, pour que cette critique soit pertinente, être en mesure de trancher la question de la nature du régime. Le PS ne l'a pas fait, laissant coexister en son sein ceux qui sont favorables à une présidentialisation de la Ve République et ceux qui privilégient le renforcement du premier ministre et une évolution primo-ministérielle. D'autres considèrent que la revalorisation du Parlement profitera d'abord au groupe majoritaire. C'est en grande partie vrai, mais faut-il s'en offusquer ? Sauf à remettre en cause le fait majoritaire ou à considérer pour l'opposition qu'elle a vocation à rester cantonnée dans ce rôle, il n'est pas illégitime que la majorité élue par les Français ait les moyens de gouverner, ce qui n'est pas incompatible avec un statut de l'opposition !
Aucune objection de principe ne permet donc de refuser l'approche préconisée par le comité présidé par Edouard Balladur. Sur bien des points, la réforme proposée apportait des réponses, certes perfectibles, mais attendues depuis de longues années par de nombreux parlementaires. Plutôt que de se réfugier dans une attitude négative et stérile, il valait mieux se mettre en disposition de les discuter sérieusement afin d'aboutir à un compromis.
Dans les grandes démocraties, cet exercice aurait été mené naturellement et sereinement. Chacun aurait compris que s'agissant de la loi fondamentale, la majorité et l'opposition recherchent dans la transparence un accord permettant à la démocratie de progresser. Dans notre pays, cette discussion a donné lieu, de part et d'autre, à des procès d'intention qui témoignent de l'immaturité de notre vie politique. Le président et sa majorité ont leur part de responsabilité dans ce qui apparaît, malgré le vote de la réforme, comme une occasion manquée. En suivant la majorité sénatoriale dans sa volonté choquante d'empêcher toute évolution du mode de désignation du Sénat, la droite a bloqué, sur un point qu'elle savait essentiel, toute possibilité de discussion avec l'opposition. Elle a privilégié sa cohésion au détriment de la recherche d'un compromis. Elle a découragé ceux qui, comme nous, avaient l'espoir de participer à une véritable modernisation des institutions. Il n'était pas question pour nous de diviser notre camp et d'être les supplétifs de la majorité.
Il n'en reste pas moins que le PS doit s'interroger sur sa stratégie de parti d'opposition. Sa disqualification résulte de son incapacité à s'abstraire d'une forme d'anti-sarkozysme pavlovien qui le conduit à s'opposer systématiquement à tout projet émanant du président de la République. Cette ligne de conduite est dangereuse et fait le jeu de celui qu'elle prétend combattre. Elle nous éloigne des Français qui n'écoutent plus un parti réfugié dans une opposition caricaturale. Elle crédibilise un discours purement protestataire. Elle n'incite pas à rechercher des solutions alternatives.
Au moment où la France connaît des défis majeurs, les Français n'attendent pas seulement que le Parti socialiste dénonce une politique inefficace et injuste, mais qu'il aide notre pays à surmonter ses difficultés. Cet exercice est exigeant face à un président de la République dont le style et l'omniprésence sont des incitations permanentes à s'offusquer. Raison de plus de ne pas y céder comme nous l'avons hélas fait sur la réforme des institutions.
Les députés Christophe Caresche (PS, Paris), Jean-Marie Le Guen (PS, Paris), Gaëtan Gorce (PS, Nièvre), Manuel Valls (PS, Essonne).
Mr Valls
électeur de droite, j' ai lu avec grand plaisir votre dernier livre, où j' ai constaté que sur de nombreux point, je partageais votre opinbion, tout simplement parce qu' ell relevait du bon sens. Vous voulez reconstruire la gauche, et lui faire accepter la réalité d' aujourd' hui : BON COURAGE, j' espère sincèrement que vous réussirez, par pour le PS, mais pour vous.
Toutefois, j' espère que vous ne vous présenterez pas aux présidentielles en 2012, je serais peut- être OBLIGE de voter à gauche pour la première fois de ma vie.
Rédigé par : Hugonnet Mickaël | vendredi 25 juil 2008 à 16h28
vous etes pitoyable M.Valls...
savez vous que vous avez été élu par des gens de gauche pour defendre des idées de gauche ? et pas par exemple, pour aller à la garden party de l'Elysée. Pourquoi ne pas rejoindre l'UMP ou le modem si vous pensez qu'ils ne faut pas s'opposer à la provocation généralisée de NS depuis son election ?
Quand on entend que la gauche ne se fait pas entendre, ce n'est pas pour applaudir NS mais pour le critiquer encore plus ! Ce n'est pas une opposition systematique par principe mais sur le fond.
NS a joué avec l'opposition sur les insitutions comme sur d'autres sujets en usant des medias (sa derniere declaration) en usant des commissions (Lang disant qu'il ne pourrait voter contre un texte auquel il a participé), en usant des députés (en acceptant qq amendements et en refusant les principaux). Cautionner ses methodes, cautionner qq reculs (M.Badinter est bcp plus credible que vous) malgré qq avancées, cela justifiait amplement de s'opposer à cette reforme.
La discipline de partie a été aussi appliquée à droite et les methodes ou moyens (publics?) pour retourner des députés symbolise le trouble de cette reforme. Des methodes de corruption qu'on aurait facilement attribuées aux anciens pays communistes peu democratiques ! On peut le voir dans le sens que l'on veut mais la discipline de partie de la droite à obliger celle de la gauche pour obtenir un resultat favorable... visiblement, il y a eu beaucoup plus de députés de droite qui ont suivi la discipline de leur parti ("les retournés", malgré ceux qui ont persistés) à droite qu'à gauche ... le vote sans discipline aurait du probablement etre encore plus juste pour cette reforme...
Rédigé par : Buzz | vendredi 25 juil 2008 à 19h51
Je suis triste pour vous,
Vous trompez de combat !!!
Si vous étiez sincère vous seriez plus visible à dénoncer les mauvais coups portés par ce gouvernement à la majorité de la population.
Vous n'êtes hélas qu'existant en qualité de faire valoir des médias pour critiquer le parti auquel vous êtes sensé appartenir.
A moins que vous soyez en partence comme certain...
Rédigé par : menye patrice-militant Charenton | vendredi 25 juil 2008 à 22h56
Les bombes à retardement.
Sarkozy est très fort. Au delà de lang, c'est maintenant 4 bombes à retardement qui sont installées à l'intérieur du Ps.
Les députés Christophe Caresche (PS, Paris), Jean-Marie Le Guen (PS, Paris), Gaëtan Gorce (PS, Nièvre), Manuel Valls (PS, Essonne).
Elles exploseront chacune leur tour, pour mieux dynamiter l'opposition et servir le maitre Sarkozy. Comme le Ps est géré par des oeunuques, personne ne prendra la décision de les virer. Chacun de leur coté ils fourbissent leurs armes pour étager les explosions Et croyez moi,si ces gens de droite s'accrochent au Ps, c'est bien pour cette unique raison...pour mieux le torpiller.
La preuve et comme le disent certains on entend pas beaucoup walls critiquer les mesures antisociales que prend chaque jour ce gouvernement. On peut penser qu'il approuve.
Rédigé par : SoDem | vendredi 25 juil 2008 à 23h12
Normalement dans toute organisation démocratique, quand on doit se prononcer sur un sujet, chacun expose sa position, il y a débat... puis prise de décision. Ensuite quelque soit le résultat du vote, même si elle n'est pas majoritaire, la minorité doit se ranger derrière la décision collective...
C'est ce que n'avaient pas fait Fabius et Mélenchon lors du débat sur le TCE (traité sur l'Europe)Il me semble qu'au début Manuel Valls était pour un vote négatif..., mais il s'est conformé à la décision collective. Voilà un bon exemple de droiture et de respect de l'organisation.
En fait cette histoire de constitution, c'est une affaire de verre à moitié plein ou à moitié vide. C'est selon.
Rédigé par : Rigo | mardi 29 juil 2008 à 22h08
Une bonne reponse est donnée dans le monde par un collectif socialistes, article "de l'opposition en democratie". En résumé, la politique de Sarkozy est globale. Si certains points sont positifs ce sont généralement des correctifs venant de l'opinon ou de l'opposition quand Sarko a poussé le bouchon trop loin. La casse gouvernementale etant globale il est normal que l'opposition soit globale donc de s'opposer à tout puisque tout element de la politique fait partie du tout. Approuver une partie du tout, c'est collaborer et ne plus s'opposer, le reste c'est du blabla!!
Rédigé par : Jacquot89 | mercredi 30 juil 2008 à 14h12
Cher Manuel,
C'est la première fois que je viens sur ton blog. En fait, je suis ce que tu écrit ou dis assez régulièrement. Les congés aidant, un peu plus de temps pour lire davantage. Je viens d'écouter ton interview sur le site de France Inter et franchement je la trouve authentique. Authentique de clarté, authentique de maturité mais surtout authentique de vérité. Je suis comme toi socialiste, adhérent, militant quand je peux, mais je trouve comme toi que le parti et ses représentants ne parlent plus aux français. Au PS, c'est clair, on ne parle plus aux français, mais on se parle entre nous, entre responsables, entre militants parfois. On se regarde, on s'observe, on essaye de prendre une suprématie; sur quoi je me demande bien. Sur qui?
Un jour tel responsable national va soutenir un tel, un autre jour un tel. C'est le bal des opportunistes et des placements actuellement. On prépare tel terrain pour telle place. On s’organise pour telle élection (2012)… On ferait mieux de préparer le débat d'idées et d'être une force de changement et de progrès.
Le PS et les forces de gauche n'ont pas vocation à rester dans l'opposition, mais vu comment les choses évoluent, comment le débat d'idées évolue, je crains que nous soyons bloquer à ce stade d'immaturité politique avec le leadership tel qu’il se dessine aujourd’hui. Nous n'avons aucun leader clair, nous n'avons aucune ligne de conduite clairs, même les idées, elles sont brouillonnes, pour ne pas dire absentes.
Que proposons-nous pour l'éducation, nos universités, pour la sécurité, pour la croissance et l'emploi, pour notre politique industrielle, pour la politique étrangère, pour notre politique de coopération et de développement. Bref, j'ai beau regarder, lire, essayer de comprendre, aucune ligne claire du parti, très peu d'analyses robustes. Il est temps que le débat d'idées reviennent et que la gauche renoue avec ses intellectuels et renoue avec les français surtout afin de proposer un vrai projet de sociétés, crédibles et réalistes, qui prennent en considération l’évolution de la société et les contraintes et opportunités de l’environnement international.
On te fait souvent le reproche d'être le plus droitier du PS. Je signalerai juste qu'il me semble que tu as refusé un strapontin ministériel que Sarko te proposait? Combien parmi ceux qui te disent cela aurait accepté le poste? Dans le bal des opportunistes, beaucoup de nos camarades sont de beaux princes!
Franchement, je trouve cette critique très facile, mais surtout non productive. Il faut cesser ce gaspillage de ressources et surtout de brocarder les forces de changement. Comment se fait-il que l'extrême gauche soit plus virulente et plus écoutée que le principal parti d'opposition. Une démocratie forte se nourrit d'une opposition forte. On en est loin. Quand je vois comment notre groupe à l'assemblée se comporte et comment nous travaillons pour créer un projet alternatif, c'est pathétique!
Il faut arrêter ce concours de beauté au parti et se retrousser les manches pour retrouver une certaine unité, condition nécessaire pour retrouver une crédibilité (perdue).
Et pour ce faire, ta place au PS et surtout au congrès est lourde d'importance et de sens pour l'avenir.
Amitiés socialistes
Rédigé par : Mustapha | vendredi 01 août 2008 à 00h40
Mr Valls, avez vous lu Christopher Lasche , "Le seul et unique paradis"?
J'ai eu de la sympathie sur certaines de vos positions dites "sécuritaires", je trouve dommage que vu les récentes explosions de violence (non médiatisées), la multiplication de crimes violents,la surcharge des prisons vous soyez bien silencieux pour dénoncer l'échec au fond de la politique initiée par l'ancien ministre de l'intérieur. Normal, vous avez été avec Julien Dray un de ses fervents soutiens en 2002.
Sur la réforme des institutions , vous avez tout faux.Je ne pense pas que face à la droite contemporaine néolibérale , la solution soit le consensus, alors pas du tout.Ceci sous peine de transformer le PS en un parti démocrate qui est de fait l'aile compassionnelle de la ploutocratie US.Norman Mailer disait d'ailleurs en 2003 avec désarroi que les "vrais conservateurs avec du coeur" ce n'était pas Bush mais Kerry et ce n'est pas faux.Je ne vois pas l'intérêt de la France et même du PS de devenir un pârti social-démocrate blairiste dont rêve davantage Saint-Germain des Prés, le MEDEF, France Inter plut^t que les mineurs de Gandrange, les éboueurs d'EVRY , les cadres éreintées par les semaines de 60 h prévues par la Commission , les agriculteurs, les petits fonctionnaires perçus comme privilégiés, le service public comme une antiquité, etc. Il est temps de choisir votre camp.
Rédigé par : Yann | mardi 05 août 2008 à 12h05
@ olivier et autres pavloviens
Votre vision du monde politique est tout à fait charmante : les bons, les méchants, les militants de droite, ceux de gauche. Votre idée de la société est bien simplette !
Oubliez vous que ce qui fait la force d’un parti c’est le verdict des urnes. Il faudra donc convaincre des électeurs du bien fondé de vos idées…ou réfléchir à ce que les français attendent de vous, éventuellement analyser pourquoi ils ne vous font pas confiance actuellement…Vous avez bientôt un congrès et les français vous regardent…Bon congrès !
Rédigé par : optimist | jeudi 07 août 2008 à 09h31
@ Yann:
>plut^t que les mineurs de Gandrange, les éboueurs d'EVRY , les cadres éreintées par les semaines de 60 h prévues par la Commission , les agriculteurs, les petits fonctionnaires perçus comme privilégiés, le service public comme une antiquité, etc.
Très drôle de mettre dans le même sac des groupes pas forcément d'accord avec ce que renvendiquent les autres groupes. Les agriculteurs? Une place forte électorale de la Droite. Et les mineurs de Gandrange apprécient-ils vraiment ces 35 Heures auxquelles les cadres sont attachés? La majorité des cadres est-elle vraiment solidaire de la fraction du secteur public la plus hostile à une réforme de l'Etat? Votre PS idéal est-il vraiment capable de fédérer tout ça ?
Rédigé par : SocLib | jeudi 07 août 2008 à 12h43
Si seulement M.Valls pouvait être le prochain candidat du Parti socialiste aux élections présidentielles de 2012...
Il serait une véritable alternative à M.Sarkozy grace son opposition réfléchie, objective et tournée vers l'intérêt de la France et des Français loin des débats politico-politiciens du PS!
Valls 2012!!
Rédigé par : Guillaume | lundi 25 août 2008 à 12h37
Cher Guillaume,
vous oubliez une chose. Vous voulez une opposition réfléchie mais est-ce le souhait de la base électorale ? de la base militante ? J'en doute. Il faut peut être encore une défaite pour qu'ils acceptent un leader à la Valls. Et peut être la retraite politique de NS en 2017 tant la haine que le personnage inspire à la Gauche pour cause de goût revendiqué du clinquant nouveau riche et de travers mégalomanes a tendance à focaliser les Socialistes là dessus plutôt que sur le débat d'idées.
Rédigé par : SocLib | mardi 26 août 2008 à 14h45
Monsieur Valls est le principal Lieutenant de Ségo. je n'ai pas lu ce 'il a fait comme proposition. Mais il est tout a fait normal que pour moi Valls n'est pas de gauche. c'est quoi être de gauche. Depuis quand on est de gauche et on applaudi de deux mains les bricoles de la droite et on vient dire qu'il faut changer le PS. Ce qu'on doit changer ce sont les hommes qui le disent et pas le contraire. L'histoire du Ps est à relire sinon on reste en dehors.Et les pseudo-modernisations c'est du n'importe quoi. Et pourquoi le capital de karl Marx serait-il d'actualité aujourd'hui ?
Rédigé par : hella | vendredi 21 nov 2008 à 00h09
Votre bêtise n'a d'égal que
votre courte vue politique.
Aujourd'hui vous vous trouvez
devant une réalité que vous
avez construite.Assumez!
Rédigé par : parnaud | jeudi 11 juin 2009 à 18h40