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jeudi 26 juin 2008

Commentaires

A Sarcelles, le député-maire PS joue à fond la carte du communautarisme juif et de la magouille


Vous avez dit "laïcité" ? François Pupponi, maire de Sarcelles n’en a rien à faire quand il s’agit de faire affaire avec la "communauté juive" et de renvoyer l’ascenseur pour bons et loyaux services électoraux. Les élus de Sarcelles peuvent, porter kippa ou perruque, refuser de serrer la main aux administrés du sexe masculin, et se servir de leurs mandats d’élus pour faire leur beurre, celui qui y voit quoi que ce soit à redire sera traité d’antisémite ! Un citoyen de Sarcelles raconte.

Sarcelles : les apprentis sorciers du communautarisme

Le député maire de Sarcelles, François Pupponi, successeur de Dominique Strauss-Kahn, porte-parole auto-proclamé de la banlieue, veut faire de sa ville un laboratoire vivant de la France de demain. Ils se garde pourtant bien de faire la promotion de certaines de ses recettes, des plus nauséeuses pour tout républicain qui se respecte. Dans une ville « communautarisée », selon ses propres termes, la réaffirmation des principes républicains devrait d’autant plus être de rigueur. C’est le contraire qui est pratiqué. L’exemple le plus édifiant et le plus scandaleux est celui de la « liste bleue », intégrée en grande pompe à la majorité municipale. Petit retour historique.

2001, dans une communauté juive inquiète de la recrudescence de l’antisémitisme, quelques personnalités locales ont la brillante idée de monter une liste communautaire aux élections municipales : la liste bleue. Ils tentent au préalable une négociation avec DSK et Pupponi selon les termes suivants. La communauté juive représente une partie importante de la classe moyenne d’une ville en voie de paupérisation, elle doit à ce titre contrôler les compétences municipales clés. Le bon sens l’emporte à l’époque, la demande est jugée irrecevable et la négociation échoue. La liste bleue se constitue donc et se présente devant les électeurs. 45 colistiers triés sur des critères religieux, sinistre première. Le but affiché : mettre la liste de gauche en ballottage et négocier entre les deux tours. DSK qualifiera pendant la campagne cette liste de « honte pour la république » (1). Malgré un score plus qu’honorable : 13,54%, le « front communautaire juif » ne parvient pas à ses fins, la liste Pupponi-DSK est réélue au premier tour avec 58% des voix.

Les républicains et les laïcs sont soulagés… pas pour longtemps, car la partie n’est pas terminée, la liste bleue revient à la charge. Au lieu d’enterrer cet honteux épisode, Pupponi reprend le dialogue avec Gérard Uzan, chef de file de la liste bleue, qui siège en compagnie de deux colistiers au conseil municipal. La tactique de Pupponi, validée par DSK, est simple : cette alliance amène les voix d’une majorité de la communauté juive, de moins en moins encline à voter à gauche. En l’échange de son soutien aux candidats socialistes locaux, la liste bleue intègre la majorité municipale. Peu importe si cette tactique conduit à faire reconnaître et valider institutionnellement le communautarisme le plus intégral, seul le résultat compte. Devant les premiers signes d’alliance, certains communistes, partenaires des socialistes locaux, se rebiffent en distribuant un tract peu reluisant intitulé « le baiser de Judas »… Ils finiront pourtant par avaler la couleuvre, qui aura considérablement grossi entre les deux élections municipales.

2007, DSK est en difficulté aux législatives face à Sylvie Noachovitch. Entre les deux tours, on sollicite la liste bleue, qui signe un tract et le distribue à dessein, aux abords de la synagogue et dans les boîtes aux lettres sur lesquelles est inscrit un patronyme juif… DSK est réélu avant de s’envoler pour le FMI. 2008, élections municipales, la liste bleue réclame son dû. Pupponi paie rubis sur l’ongle en intégrant trois anciens de la liste bleue sur sa liste, délégations clés à l’appui. Gérard Uzan aura en charge l’action sociale, Fabienne Sroussi le logement, Charles Souffir le développement économique via la vice-présidence de la communauté d’agglomération. Voyant les portefeuilles principaux leur échapper, les partenaires de Pupponi, médusés, n’osent pas désavouer leur chef, tandis que l’opposition hésite à dénoncer cette alliance, les accusations d’antisémitisme peuvent fuser à tout moment.

Pourtant, il y en aurait à redire. La liste bleue a constitué son propre groupe au conseil municipal. Fabienne Sroussi, juive pratiquante, porte la perruque et ne serre pas la main des hommes, ce qui est son droit, du moins tant qu’elle n’est pas élue. Car la laïcité en France prohibe tout signe religieux ostentatoire chez les représentants de l’Etat et interdit que l’on traite différemment les citoyens. Mais à Sarcelles, en plus de ne pas pouvoir vous loger dignement, crise du logement oblige, si vous êtes un homme, vous n’aurez même pas droit à une poignée de main de la part de l’élue de référence.

De son côté, Charles Souffir, ancien Sarcellois habitant aujourd’hui Neuilly sur Seine, arbore la kippa en toutes circonstances. Riche entrepreneur, il possède à Sarcelles un immeuble, le Francilien, où il loge, contre loyers, des services municipaux. Un conseiller municipal qui fait des affaires avec sa propre municipalité, quoi de plus normal ? Après tout, l’emprunt pour financer la construction de son immeuble a été garanti par la communauté d’agglomération du Val de France, dont il est aujourd’hui le vice-président. En charge du développement économique, il peut peser dans les décisions d’implantations d’entreprises avec lesquelles, peut être, « travaillera-t-il ». Le communautarisme se double ici d’un mélange des genres sur lequel la justice ne saurait tarder à se pencher.

Enfin, à l’action sociale, Gérard Uzan, est un médecin respecté mais un politicien illuminé. Déjà colistier de DSK en 1990, il s’était alors rendu coupable de la plus odieuse des diffamations envers le maire RPR de l’époque en déclarant « en souvenir des six millions de nos frères morts dans les camps, nous n’avons pas le droit de voter pour Raymond Lamontagne ». Ce dernier, décoré comme résistant , portera plainte et la justice condamnera Gérard Uzan . Les associations de déportés auraient pu en faire autant : instrumentaliser la mémoire de la Shoah pour diffamer un adversaire politique, quelle horreur… !

Aujourd’hui Pupponi, réélu à 69%, peut être fier de lui. Il n’a jamais perdu une élection. Il a, de plus, fait d’une pierre trois coups, bafouant tout à la fois les règles élémentaires de la laïcité, de la probité et du respect de la dignité des personnes. Il a ouvert la boîte de pandore du communautarisme politique en montrant la voie aux intégristes de tous bords : « pesez électoralement et vous obtiendrez tout ce que vous voudrez ». Et dire que cet apprenti sorcier veut faire de Sarcelles un laboratoire de la France de demain. Au secours ! "

Par Bernard Lanra, citoyen sarcellois républicain.

Dimanche 22 Juin 2008

Source : http://www.communautarisme.net

1) Le Parisien, Edition Val d’Oise, 4 mars 2008.

2) Raymond Lamontagne est ancien officier de la 1ère armée de Lattre de Tassigny.

3) Jugement du Tribunal de Pontoise du 9 mars 1990 condamnant Gérard Uzan pour diffamation publique à 10 000 francs d’amende et 1 franc de dommages et intérêts.

CAPJPO-EuroPalestine

Et vous voyez Cher Mr Valls comme il faut être prudent avec les matchs de Foot! L'espagne écrase une équipe de Russie, intoxiquée, épuisée, inéxistante. L'espagne sort un jeu offensif brillant, construit, très technique...
A suivre contre l'Allemagne... A mon avis le match sera très fermé.

Un match de foot, c'est comme une élection... Elles se suivent et ne se ressemblent pas!!!

(Jolie intervention sur FR2 hier soir!)

Cordialement.

très choquée par vos propos inadmissibles concernant les catalans qui ne sont pas des espagnols!!! le seul handicap de l'espagne d'aujourd'hui c'est des hommes qui ont une mentalité comme la votre.
D'autres pays ont réussi malgrè un passé très douloureux (allemagne) à vivre ensemble, à prospérer ensemble, les plus riches
devant évidemment aider les plus pauvres, pour pouvoir avancer tous.
Les catalans sont vaniteux, égoistes, et xénophobes envers les autres espagnols qu'ils trouvent inférieurs!!!
D'ailleurs je suis sure que vous auriez préféré que les espagnols
perdent le match contre les russes, le comble de la mesquinerie. Allez Mr.VALLS changez au moins de parti, vos idées ne sont pas celles du parti socialiste.

Laïcités autoritaires en terres d’islam

Par Jean-Michel Cros
vendredi 27 juin 2008

La parution d’un livre de Pierre-Jean Luizard est toujours un plaisir, l’annonce d’une lecture éclairante et intelligente. Son dernier ouvrage : Laïcités autoritaires en terres d’islam[1] qui vient de paraître, est – une fois de plus chez cet auteur – un exemple d’empathie pour son objet de recherche, de pertinence dans l’analyse, de justesse dans le raisonnement.

L’un des principaux mérites de ce livre est d’une part de préciser d’emblée l’un de ses objectifs, qui est celui d’éclairer les débats confus qui ont lieu chez nous à propos de l’actualité turque : « on ne sait plus qui est quoi, surtout en France » dit-il justement[2], d’autre part de poser dans l’introduction sa profession de foi à laquelle nous souscrivons pleinement : « la laïcité – ou une certaine forme de laïcité, même non revendiquée – est un préalable à toute démocratisation. »[3]

Pierre-Jean Luizard va à partir de là examiner différents modèles de laïcisation par le haut, en recherchant comment la laïcité, qui a été en France un facteur de démocratisation de la vie politique, n’a pas produit les mêmes effets en terres d’islam ; dès l’abord, en effet, le contexte est différent : la tendance générale y a été l’autoritarisme et « les idées laïques et laïcisantes ont été perçues comme le corollaire de régimes dictatoriaux et/ou de la domination occidentale. »[4]. Son étude porte sur trois grandes zones : la Turquie, l’Iran et le Monde arabe, dans lesquelles nous allons devoir faire des choix difficiles, tant toutes ses pages sont pertinentes.

Une première caractéristique commune se dégage rapidement : sur la longue durée, en dépit des ruptures apparentes, c’est la continuité qui prévaut, Mustafa Kemal, Reza Shah, Nasser ou Bourguiba n’ayant fait qu’accélérer un mouvement commencé bien avant eux.

En effet, l’Empire ottoman voit dès le XVI° siècle l’apparition d’une législation séculière autonome par rapport à la législation charaïque, le contrôle et la réforme de l’islam par l’Etat[5], la publication d’un Code de la Famille dans les dernières années de l’Empire anticipera les réformes de Mustafa Kemal[6] ; en Perse, si le droit d’interprétation de la charia appartient au souverain qadjar – et pas aux ulémas - [7] ce sont ces mêmes Qadjars qui vont introduire la justice civile, avant que Reza Shah ne promulgue, en 1935, un Code civil qui sera conservé par la République islamique ; en Egypte, la Maison de Mohamed-Ali ne va pas supprimer les institutions islamiques existantes mais en créer de parallèles[8], annonçant déjà ce que fera Nasser.

Second trait commun, les souverains musulmans sont placés, au XIX° siècle devant l’alternative suivante : perdre leur souveraineté ou disparaître à terme[9]. Une réponse va être trouvée par un changement ou une suppression de dynastie, l’adoption de l’idée que la laïcité est un instrument de la puissance et l’acclimatation du concept d’Etat-nation, que le monde musulman avait découvert à l’occasion de l’Expédition d’Egypte[10].

Dans la construction de cette idéologie et de ces identités nouvelles, des pages éclairantes, auxquelles nous vous renvoyons, sont consacrées à l’utilisation de l’archéologie[11] et à la substitution d’une mère patrie imaginaire aux patries réelles[12].

L’aspect le plus utile de ce livre n’est cependant pas là : il est à nos yeux dans l’analyse de la nature des régimes mis alors en place et dans l’étude parallèle de la perception que nous en avons en Europe et particulièrement en France. Il semble qu’au vu du seul mot de « laïcité » la seule lecture de cette étiquette supplée à tout et qu’il ne soit pas nécessaire – voire inconvenant - d’aller rechercher la réalité de la pratique politique des régimes qui s’en réclament. Il faut du courage à Pierre-Jean Luizard pour passer outre cette doxa[13].

Quelques exemples. En Turquie, les « six flèches d’Atatürk », intégrées à la constitution de 1937 – républicanisme, nationalisme, populisme, étatisme, laïcité, révolutionnarisme, allaient trouver une application concrète dans les destructions massives des campagnes kurdes et la déportation vers d’autres régions de 20.000 d’entre eux[14], la répression des Alevis, les villages rayés de la carte et une répression faisant plus de 15.000 morts après la révolte de cheikh Saïd[15], la répression impitoyable des confréries et des « Nurcu » allaient émouvoir peu de monde : Pierre-Jean Luizard cite ainsi « Le Temps »[16] en 1938 : L’épée au fourreau, le Ghazi, avec une énergie farouche et parfois une brutalité nécessaire[17]s’est attaqué à la modernisation de son pays. »

De la même manière, « on n’insistera jamais assez sur l’ampleur et la férocité de la persécution endurée par les Frères musulmans sous le régime nassérien » écrit P.-J. Luizard[18], dans ce cas comme dans le précédent, « il a paru normal, ou du moins acceptable, que les “intégristes musulmans”, “l’extrême droite” pour reprendre les expressions de Jacques Berque, les “terroristes d’inspiration fasciste et nazie” comme les grands médias français présentaient les islamistes, subissent ce qu’ils ont dû subir. »[19]

Le sort fait aux minorités est à cet égard particulièrement éclairant de l’aveuglement de nombreux commentateurs. En Turquie, la laïcité kémaliste fut à l’opposé du pluralisme religieux et politique[20] - et c’est là une vraie rupture par rapport à l’Empire ottoman dans lequel les minorités non musulmanes bénéficiaient d’un statut : dès les négociations pour le traité de Lausanne, la délégation turque, conduite par Ismet Inönü, s’opposa farouchement à l’octroi du statut de minorité aux groupes musulmans non sunnites[21] ; en 1930, le ministre de la justice, Bozkurt, déclara : ceux qui ne sont pas de purs Turcs n’ont qu’un seul droit dans la patrie turque : c’est le droit d’être le serviteur, c’est le droit à l’esclavage ! »[22], en 1942, un « impôt sur la fortune », destiné en réalité à spolier les Arméniens, les Grecs et les Juifs furent suivis de pogroms[23], les minorités chrétiennes se voient appliquer une législation restrictive[24] …

En Iraq, les shi’îtes, majoritaires dans la population mais en situation de minorité juridique, subirent une législation discriminatoire, furent souvent déchus de leur nationalité et férocement massacrés[25]

En Iran, shi’îsme et iranité ont joué le même rôle que sunnisme et turcité en Turquie : alors que juifs, chrétiens et zoroastriens (1 % de la population ensemble) comptaient des représentants au Parlement, les sunnites (12 %) n’en avaient aucun…

Iran et Turquie vont voir leurs chemins diverger plus récemment : si l’étatisme ne sera pas remis en cause en Iran avec le changement de régime, la Turquie va connaître ces dernières années, outre une transition réussie du dirigisme à l’économie de marché[26], une évolution progressive vers le pluralisme politique et une démilitarisation de ses institutions. Le chapitre intitulé « La Turquie entre “laïques” et AKP » est un modèle d’analyse intelligente et de décryptage de la vie politique turque la plus récente d’un pays à la croisée des chemins.

De nombreux autres passages mériteraient que l’on s’y attarde plus longuement : ceux sur le rôle de la Franc-maçonnerie et de l’Armée dans les pays étudiés notamment.

Une critique cependant : rappelant les circonstances de l’abolition du Califat, Pierre-Jean Luizard écrit : « Adbülmecid s’enfuit, le même jour. » Ce raccourci est regrettable : Abdülmecid ne s’est pas enfui : il a été chassé – comme du reste toute la Famille Impériale, dont les membres n’ont eu que quelques heures pour prendre une valise et quitter la Turquie.

Le Calife Abdulmecid (dont on peut toujours voir la bibliothèque au palais de Dolma Bahçe) était en train de lire les « Essais » de Montaigne lorsqu’il lui fut annoncé à 10 heures du soir, le 3 mars 1924, que le gouverneur de Constantinople souhaitait le voir : il lui apportait l’ordre de quitter les lieux ; après avoir tenté de résister, tout opposition étant vaine, le Calife fut embarqué dans l’Orient Express depuis la gare de Chatalja, hors de la capitale, par crainte de manifestations en sa faveur si l’embarquement se faisait de Constantinople même. Nous sommes loin d’une « fuite » mais bien plutôt d’un exil décrété honteusement…

C’est somme toute une critique bien mince pour l’ensemble de cet excellent ouvrage.

Quelles conclusions tirer de ces expériences ? La laïcisation a été imposée en terre d’islam par le haut, de façon autoritaire, sans autre relais que l’armée[27], par des régimes incapables – sauf en Turquie – de se démocratiser et elle a été insuffisante, à elle seule, à enclencher un processus de démocratisation.

En outre, et l’Europe l’oublie souvent, les régimes qui s’en réclament ont été parallèlement les premiers agents de la réislamisation contemporaine du monde musulman : « l’identité religieuse est devenue l’arme privilégiée de sociétés qui n’ont pas d’autres moyens pour affirmer leur souveraineté » écrit l’auteur[28] avant de conclure par une question juste et pertinente que nous vous laissons découvrir.

Si vous êtes las du manichéisme et du sens commun de la vulgate médiatique, lisez Pierre-Jean Luizard : c’est un régal de clarté et de modestie intellectuelle qui font de lui un modèle d’adab – un véritable honnête homme.

J'ai été choqué de l'intervention de M. ESTIVILL lord du conseil municipal. J'ai vraiment eu honte car cet individu a été le prof d'histoire de ma petite sœur ainsi par ses propos c'est toute son image de "prof" et tous ce qui va avec qui est tombé.
Comment enseigner la citoyenneté et le respect quand on se comporte de la sorte. Je suis vraiment déçu de son attitude, je n'aurais jamais imaginé ça de sa part...

Pas mal la comparaison entre l'équipe de France et le PS. Espérons simplement que le congrès ne se terminera pas comme l'Euro!
à moins que vous considéreriez le congrès comme des éliminatoirs pour la prochaine grande compétition qu'est les présidentielles de 2012???

el texte que m'es positiu va desaparer,com pod ser axo jan estivill savigny egalite

@flower
J'y étais et je n'ai pas du tout été "choqué" par le comportement de M Estivill égal à lui même depuis 20 ans...
Pourquoi avoir honte ...c'est lui faire trop d'honneur !
Je ne suis pas vieux (40 ans) mais je l'ai toujours connu ainsi !

Quel comportement attentiez vous d'une personne qui prefere prendre le risque de perdre plutot que de s'unir ....(même s'il y a des desaccords avec les membres de la listes)


Nous avons la preuve que République , laïcité et gauche ne font pas forcément bon ménage...
Question faut il laisser de telles personnes au PS ou revoir le PS ?

Loin des propos électoralistes, de la caresse dans le sens du poil et des vues à court-terme :
TVA à 5,5% pour les restaurants... En tant que restaurateur j’ai toujours estimé qu’il valait mieux pour le budget de l’état faire passer la TVA des fast-food à 19,6% et non l‘inverse !
http://blog-ccc.typepad.fr/blog_ccc/2008/07/tva-55-pour-les.html#comments

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