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mardi 19 mai 2009

Commentaires

Très intéressant sondage, vous gagnez 3 points et continuez d'émerger dans le paysage politique.

Je ne peux que m'en réjouir et vous trasnmettre mes sincères félications.

32 points d'opinions favorables

29 points d'opinion défavorables

Ce qui est intéressant avec vous, en plus, c'est que 39% des Français n'ont pas encore d'opinion sur vous.

A vous de les convaincre !

Vive le PS !

Jusqu'a présent je laissais le bénéfice du doute à Julien Dray....or depuis ce matin je suis furax et pour moi le PS c'est fini.....J'habite Sainte-genevieve, depuis quand un comité de soutien ou une association sont de l'argent personnel...?? Julien Dray a pioché dans les caisses du comité de soutien de Sainte-Genevièeve-des-bois pour offrir une rolex à 7000 euros à une de ses candidates à Grigny et se defend en disant que c'etait son argent !!!
ca fait 20 ans que je vote socialiste, le PS depuis 2 ans commençait à me saouler grave avec ses dissentions et desaccord permanents, ses egos surdimensionnés et c'est pour ca que j'avais rendu ma carte. Le pire a été atteint avec Ségo et ses bourdes continuelles et qui apres s'est prise pour une star du show-bizz écrit partout au nom de la France !! C'est n'importe quoi ! et la totale : une association de la ville ou j'habite ou j'ai participé à faire élire le maire PS actuel, vlan, une rolex dans les dents..
trop c'est trop, je rejoins le modem ou je voterai blanc, mais ne comptez plus sur mon vote.

Une ancienne adhérente sympathisante très remontéé

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur
le PROGRAMME ECONOMIQUE de François BAYROU et du MODEM :

Beaucoup s'interrogent sur l'absence de programme économique dans l'ouvrage récent de F. Bayrou "Abus de pouvoir". On trouve la réponse à cette question dans l'ouvrage parallèle "Sarkozy: l'erreur historique" que son mentor en économie Jean Peyrelevade, ancien PDG du Crédit Lyonnais, publia il y a peu chez le même éditeur (Plon,2008), avec moins d'éclats médiatiques.
Il n'est pas ininterressant, pour se faire une idée de ce programme, de citer les passages les plus saillants de l'auteur qui fut le compagnon de route de F. Bayrou lors de la campagne présidentielle, et préssenti comme futur responsable de la politique économique en cas de succés:

AVANT-PROPOS:
"Comment...ne pas approuver maintes réformes qui s'attaquent courageusement à des archaismes flagrants de la société française?"(p.8)
"Ainsi de la loi sur l'autonomie des universités...
Ainsi de la réforme des régimes spéciaux de retraite...
Ainsi de la modification de la carte judiciaire...
Ainsi de l'apparition de formes assouplies du contrat de travail...
Toutes ces belles actions, dont le citoyen se félicite, ne sont pas négligeables. Mais...: 23000 agents de l'état en moins au budget 2008, soit une diminution de un pour mille. Non pas beaucoup de bruit pour rien, mais beaucoup de bruit pour pas grand chose, du moins dans l'ordre des chiffres" (p.9)...
"Curieuse convergence de vocabulaire avec Ségolène Royal. La gauche fut longtemps incapable de changer en profondeur le pays...(p.14)

CHAPITRE 2 (Le pouvoir d'achat) :
"La promesse d'amélioration du pouvoir d'achat faite pendant la campagne électorale devient une injure aux citoyens si elle ne peut être tenue... Or, elle n'est pas près de l'être. Dans la répartition de la richesse nationale, les ménages ont reçu leur dû et même un peu mieux." (p.35)

CHAPITRE 3 (Le mal français) :
"Jean-Paul Fitoussi, économiste réputé de gauche mais écouté par le président de la République, déclare:
-La part des salaires a beaucoup trop baissé au cours des années 80.
Alain Minc ajoute son grain de sel en forme d'affirmation doublement erronée:
-Les entreprises font des profits importants et elles sont assez peu endettées. Elles ont donc tous les moyens d'investissements...
Il ne reste plus au général en chef, je veux dire Nicolas Sarkozy, qu'à dresser en impératif gouvernemental la synthèse de tant d'erreurs...lors de sa conférence de presse du début de l'année 2008:
- Les exonérations de charges seront conditionnées aux négociations salariales...Il faut rééquilibrer la répartition des conséquences du succés entre salariés et actionnaires-" (p.70)
"Quel malaise de voir Nicolas Sarkozy et Lionel Jospin professer les mêmes erreurs: démagogie de droite et démagogie de gauche, également ancrées, se rejoignent. A notre brillant duo, vient se joindre une voix féminine. Ségolène Royal interroge en ces termes les militants du parti socialiste:
- Il faut rééquilibrer le rapport de forces entre le travail et le capital par une mezilleure répartition du profit. Quels contre-pouvoirs dans l'entreprise?" (p.71)
"Faut-il préférer Bertrand Delanoé? Ce libéral anti-capitaliste vient d'ajouter sa voix à ce choeur dissonant: il réclame une taxation des revenus du capital et, comme Nicolas Sarkozy, une révision des exonérations consenties aux entreprises qui refuseraient des augmentations salariales. A quoi sert de changer nos dirigeants s'ils professent tous les mêmes inepties?" (p.72)

CHAPITRE 4: LES DEFICITS
" Le vieillissement de la population, conséquence de l'allongement de l'espérance de vie (un an gagné tous les quatre ans), fait peser un poids sans cesse accru sur les régimes d'assurance vieillesse et d'assurance maladie...: c'est aux bénéficiaires et à eux seuls de payer par leurs impôts et leurs cotisations les prestations qu'ils reçoivent. Les personnes physiques, les ménages, sont les seuls concernés, les seuls à être malades ou à prendre leur retraite. Que vient faire ici l'entreprise qui ne connaît pour elle-même ni droit à pension ni droit à assurance santé? Demander une contribution au système productif n'a comme sens que de masquer l'ampleur de l'effort nécessaire et comme seul effet de peser sur sa compétitivité." (p.103)
"A ma connaissance, nous sommes le seul pays développé au monde ou la définition des heures supplémentaires , leurs contingents et leurs rémunérations sont fixés par décision du législateur central...
Dès lors, un pouvoir politique nouvellement élu, d'inspiration prétendument libérale, prétendumment favorable à l'entreprise, prétendument décidé à restaurer la compétitivité de notre appareil productif, proclamant à juste titre que les 35 heures furent une faute gigantesque, ce pouvoir là serait passé à l'acte s'il avait été conséquent. Un article de loi de trois lignes aurait suffi à mettre fin à notre singularité:
- La durée effective du travail et sa rémunération relèvent d'accords contractuels entre employeurs et salariés. L'une et l'autre sont fixées par des accords de branche ou d'entreprise." (p.126-127)

CHAPITRE 6 ( D'où vient Jean Peyrelevade?) :
"L'équipe tout d'abord. En 1981, elle était dans les murs puisqu'elle formait une partie, la plus éminente par les responsabilités, du gouvernement lui-même. La vision macroéconomique ensuite...Pascal Lamy à Rivoli..., moi-même à Matignon servions de relais entre nos patrons politiques respectifs [Jacques Delors ministre des Finances, Pierre Mauroy Premier ministre]" (p.158-159)
"C'est ainsi que fut pris le virage de politique économique de Juin 1982, puis mars 1983, vers ce que Lionel Jospin, alors premier secrétaire du parti socialiste, crut bon d'appeler la parenthèse de la rigueur, commettant ainsi une erreur de forme et de fond... (p.151)
"Il y eut dans notre action, pour une part significative, comme une sorte de relicat de correction Barriste...Une hausse temporaire des prélèvements obligatoires sur les ménages fait partie intégrante de tout plan de redressement digne de ce nom (155-156):"
"De 1982 à 1984, le taux de croissance de l'économie française fut divisé par deux (de 2,4 à 1,2%)... Simultanément, en 1983 et 1984, le pouvoir d'achat des ménages subit une légère diminution (-0,1 puis -1,1%), ce qui était conforme à la politique suivie." (p.156-157)

CHAPITRE 7 (Les voies du redressement) :
"LIBERER LE TRAVAIL:
La première mesure consiste à libérer le travail...je veux dire le libérer vraiment en mettant fin aux trente cinq heures, sans avoir à payer pour cela des milliards d'euros d'argent public.
On a vu ce qu'était la solution: il suffit de renvoyer au dialogue contractuel entre partenaires sociaux les décisions relatives à la durée du travail et surtout à sa rémunération, point sur lequel Nicolas Sarkozy, tout à sa volonté de distribuer du pouvoir d'achat, demeure figé. Ne resteraient comme instruments centraux, interprofessionnels, à la main de l'exécutif et/ou du législateur, qu'une durée maximale du travail qui serait d'ordre public (aujourd'hui 48 heures par semaine en vertu d'une directive européenne) et le SMIC." (p.169)
"RETABLIR LES FINANCES PUBLIQUES:
L'objectif central est de déplacer de quelques points, trois à quatre, en faveur des entreprises et donc au détriment provisoire des ménages, le partage de la valeur ajoutée...
La remise en ordre de l'appareil productif passe nécessairement par un prélèvement sur le pouvoir d'achat des ménages (à nouveau, qui d'autre pourrait payer une telle opération?)... Année aprés année, avec une sorte de tranquillité opininiâtre, il convient de modifier à la marge la répartition de la valeur ajoutée, du PIB, de façon à en laisser une part un peu plus fournie aux entreprises, un peu moins grande aux ménages." (p.169-171)
"Si l'on entend vraiment déplacer des entreprises aux ménages un curseur de charges mal réglé, la hausse des taux de certains prélèvements est incontournable." (p.173)
"DIMINUER L'IMPÔT SUR LES SOCIETES:
On peut ainsi réver à une sorte d'utopie fiscale. Supposons que l'on réduise à rien l'impôt sur les sociétés qui est actuellement du tiers du bénéfice imposable. Les marges brute et nette de l'entreprise sont augmentées du montant de l'impôt supprimé." (p.179-180)
"Cette utopie permettrait de résoudre au passage l'énigme déjà rencontrée de l'arbitrage fiscal entre le travail et le capital. L'entreprise..., il s'agit, en tout état de cause d'une charge pour elle. Exonérons-la de toute taxation à ce titre et les revenus du capital, quelle qu'en soit la forme (loyers, intérêts, dividendes ou plus-values), devraient être soumis à des prélèvements fiscaux et sociaux identiques. Vaut-il mieux imposer les revenus du capital ou ceux du travail? L'arbitrage fiscal, à partir du moment où l'on n'y mêle plus les entreprises, exercé au sein de la catégorie des seuls ménages, prend alors tout son sens, économique et politique." (p.181-182)

Très bien, attaquez Bayrou...Que dites-vous du comportement de Dray...?? Pas de réponse...?

M. Valls,

nous sommes effectivement dans le tempo de l'exécutif élyséen.

Or en 2009, il s'agit d'élire des députés européens qui suite au découpage par grandes régions doivent se rapprocher des citoyens que nous sommes tout un chacun.

Puis en 2010 , élections régionales et cantonales.

En 2011, sénatoriales.

Il faut laisser le temps au temps faire son oeuvre.


André Guidi

Je suis tout à fait d'accord avec vous Manuel VALLS. Le PS fait le jeu du Président SARKOZY en ne parlant que de lui au lieu du projet socialiste, en faisant de son rejet le centre de la campagne pour les européennes au lieu de se baser sur le projet paneuropéen du Manifesto....
Il est même sur les affiches électorales socialistes!! "Pour lutter contre la crise et battre SARKOZY, votez PS". Tout cela est quelque peu désespérant...
S'il l'on attend que Nicolas SARKOZY change de stratégie on peut toujours attendre! Ce n'est pas au Président de changer, c'est au PS d'agir, de s'adapter et de proposer!!

Dimanche sur Europe 1 Martine Aybry a dit "je ne veux pas être la 1ere opposante a N Sarkozy mais la 1ere proposante" faisons lui confiance.

J'en ai marre et plus que marre de tous ces gens qui critiquent le PS , s'il n'y avait pas le PS pour taper dessus en se demande ce que serais leur vie politique , je ne parle evidememment pas des adversaires mais des membres du PS.

D'abord est ce que M Valls etait au meeting a Paris?

M. Valls,
La France devient désespérante, elle est dirigée par un menteur comme la 5eme république n'a jamais eu, elle regresse au niveau internationale, tout sonne faux, les principes liberté, égalité, fraternité n'ont plus cours et malheureusement malgré toutes les portes ouvertes le PS est de plus en plus nul!!! Il est temps de faire une remise en question profonde des Hommes, mais surtout du PS.

Tous ces responsables indétrônable, Aubry, Royal, Jospin, Emmanuelli, Hollande,... sont responsables également du bilan de la France car ils n'ont pas été bons ni pour prendre les rennes du pays ni pour présenter une opposition digne de ce nom.

Place aux jeunes, il faut créer un nouvel élan, amener de nouvelles idées, imaginer un avenir autre et dans le cas contraire, en 2012 nous aurons droit à la continuité pour les 5 années suivantes avec toujours le même constat d'échec du PS.

C'est maintenant qu'il faut agir pour l'avenir.


Vous pouvez venir rejoindre le groupe "Manuel VALLS ou l'homme qui veut changer la gauche" sur le réseau militant "Notre Espoir à Gauche"!

Bonjour à tous,
bien que je ne sois pas sympathisant socialiste, je trouve dommage qu'il n'y ait pas de force d'opposition digne de ce nom dans ce pays.
Une opposition forte permettrait de relever les débats à l'assemblée.
M. Valls, vous pronez un parti socialiste différent permettant de batir un projet.
Mais je crois me rappeller que vous avez soutenu la candidature de Mme Royal lors de la campagne à l'élection du premier secretaire du parti.
J'aimerai comprendre, comment une personne comme vous, qui semblait relever largement les débats et sortir de "l'antisarkozysme plavovien", a pu soutenir une personne comme Mme Royal, qui incarne tout ce que vous dénonciez avant le congrés de Reims.

Effectivement, Mme Royal incarne pleinement "l'antisarkozysme plavovien", se chargeant de critiquer, critiquer et critiquer les actions du gouvernement actuel sans rien proposer...
Il est bien triste que les médias perdent leur temps à accroder encore du crédit à cette personne.

M. Valls, Mme Royal vous avait-elle promis quelque chose en échange de votre soutien lors du congrés de Reims.

Je vous suis depuis un moment, mais je n'ai pas compris ce revirement de situation.

Est-ce vraiment utile de revenir sur ce qui s'est passé en novembre dernier ? Enfin, puisque c'est ainsi, et malgré les mulitiples explications de Manuel à ce sujet, je me permets simplement de vous indiquer une énieme fois que c'est d'abord Ségolène Royal qui s'est rapproché de la motion E pas l'inverse !!!!
En outre, au cas où cela ne suffirait, elle ne nous avez pas encore gratifié de ses dernières "perles"...

C'est vrai que novembre ça date un peu...
Cela dit, il ne suffisait pas d'attendre les dernières perles de Ségolène, elle en avait suffisament exprimé lors de sa campagne présidentielle et l'après préseidentielle...

http://voguehaleine.blog.20minutes.fr/files/Jacques_Dutronc_-_L_opportuniste.mp3

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