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mardi 05 fév 2008

Commentaires

Yes We Can Obama Song by will.i.am
http://www.youtube.com/watch?v=2fZHou18Cdk

Bonsoir Mr Valls,

J'ai pu voir vôtre nouvelle équipe et j'aurai aimé y faire partie en tant qu'assistante marketing ou de direction. Alors, n'hésitez pas à me faire signe si il reste de la place!:-)

Bonjour Monsieur Valls,

Je partage complètement votre point de vue... il y a fort à parier vu le ton cordial que les deux candidats entretiennent, qu'un ticket les réunissant fera le bon carton en novembre. Il est grand temps.

Je n'ai jamais compris comment Bush junior a pu se faire réélire une 2ème fois et un peu mieux que la 1ère !! De là à les prendre tous pour des obèses intellectuels et culturels, il n'y avait qu'un pas. Pourvu que leur minorité éveillée s'active utile.

Pourtant on ne peut pas confondre les démocrates USA avec la gauche française... Kerry battu par Bush, incompréhensible... il faut croire que là bas aussi, les peaux de banane en coulisses c'est un sport national.

Bien à vous, Nihadyou.

Super Tuesday Speech
http://link.brightcove.com/services/link/bcpid900881681/bclid900480414/bctid1407950326

Hillary's Super Tuesday Speech
http://www.youtube.com/watch?v=gB16r8K4NHI
http://www.hillaryclinton.com/blog/view/?id=36093

SUPER WENESDAY. En effet, j'ai pu voir ce mercredi sur la marché des Loges, des gens ditribuer des tracts pour M. Dominguez. Enfin , du changement à EVRY.
J'ai apprécié les échanges que j'ai pu avoir avec les nombreux militants de ce candidat aux municipales pour notre Ville.
Je pense faire le tour de chacun des candidats mais enfin ça bouge.
Un futur... contre des evryens jeunes et aînés. mais je crois qu'au niveau crédibilité, on parle d'Evry et pas de Sarkosy, ou de pouvoir d'achat comme le dimanche quand un individu de couleur qui aboît sur tout ce qui bouge; afin que les gens ne vote pas pour le candidat de leur choix. Cela doit être ça la démocratie pour les socialistes.

Evitez d'être naïfs lorsque vous parlez des USA, ils sont beaucoup plus "nationalistes" que nous et beaucoup plus protectionnistes que nous, une fois les élections terminées. N'oubliez pas qu'ils ont des guerres à finir et qu'ils le feront, quel que soit leur camp. La mondialisation c'est leur truc, ils y naviguent mieux que nous, pauvres autistes!

Evitez d'être naïfs lorsque vous parlez des USA, ils sont beaucoup plus "nationalistes" que nous et beaucoup plus protectionnistes que nous, une fois les élections terminées. N'oubliez pas qu'ils ont des guerres à finir et qu'ils le feront, quel que soit leur camp. La mondialisation c'est leur truc, ils y naviguent mieux que nous, pauvres autistes!

Kerry le milliardaire un peu niais avait voté en faveur de la guerre en Irack, seuls les français un peu niais de l'intelligentsia de la gauche caviar pouvaient croire que NOS souhaits de franchouillards attardés pouvaient faire gagner Kerry et ses bourdes "Ségolénistes".

Super Tuesday: Un match nul Clinton-Obama et un vainqueur républicain qui a "la frite".
http://blog-ccc.typepad.fr/blog_ccc/2008/02/super-tuesday-u.html?cid=100223294#comment-100223294

Je pense pas qu'un ticket Obama/Clinton soit possible... ça m'étonnerait qu'Hillary se contente des miettes...
Vas-y Hillary, t'es la meilleure!

D'apres moi, Hillary Clinton a un programme rode, plus realiste au point de vue des affaires etrangeres mais aussi plus ambitieux sur le social (notamment sur la secu). Par ailleurs, elle a quand meme une longue experience en politique. Cela dit, Obama me derange pas et pourquoi pas en faire un Vice-President.

Mais bon, vu comment ca se presente, ce sera plutot Obama/Edwards. Prendre la Clinton en VP pour Obama, ce serait aller contre son message de "change". J'l'aimais bien la Hillary pourtant.

John Edwards se rallie à Barack Obama le 14 mai 2008:
http://link.brightcove.com/services/link/bcpid900881681/bclid900480414/bctid1556072365

Courrier international - 21 mai 2008

Article
ÉLECTIONS AMÉRICAINES - Pour Obama, l'investiture est "à portée de main"

Il ne manque plus que 70 délégués pour que Barack Obama soit le candidat du Parti démocrate. Après avoir remporté l'Oregon, le sénateur de l'Illinois se concentre désormais sur son duel avec John McCain.



Le sénateur Barack Obama a fait hier un grand pas vers l'investiture du Parti démocrate : il a obtenu suffisamment de délégués supplémentaires pour revendiquer un avantage pratiquement insurmontable face à Hillary Clinton. Obama a remporté les primaires de l'Oregon, tandis que Clinton a gagné le Kentucky.

Pendant que l'équipe Clinton continuait à affirmer qu'elle peut l'emporter, Obama a profité des résultats de l'Oregon et du Kentucky pour passer à une nouvelle phase de sa campagne, dans laquelle il sera confronté à de nouveaux défis. Il devra rallier les partisans de Hillary Clinton, conquérir les voix de certains éléments de la coalition démocrate comme les ouvriers blancs, les Hispaniques ou les Juifs et repousser les attaques de John McCain, le candidat républicain, en particulier sur la sécurité nationale.

D'après les règles démocrates, le score réalisé par Obama dans le Kentucky et sa victoire dans l'Oregon lui permettraient d'obtenir une majorité de délégués. "Nous sommes revenus dans l'Iowa avec une majorité de délégués élus par le peuple américain et vous nous avez mis à portée de l'investiture du Parti démocrate pour la présidence des Etats-Unis d'Amérique", a-t-il déclaré devant le capitole de Des Moines.

Même s'il semble bien parti pour devenir le premier candidat noir à remporter l'investiture, Obama s'est toutefois bien gardé de proclamer sa victoire pour ne pas paraître manquer de respect vis-à-vis de Clinton, et s'aliéner ainsi les partisans de celle-ci dans les semaines qui viennent. Il s'est au contraire répandu en éloges sur son adversaire. "La sénatrice Clinton a fait voler en éclats les mythes, abattu les barrières et changé l'Amérique dans laquelle mes filles et les vôtres deviendront adultes, et nous lui en sommes reconnaissants", a-t-il affirmé.

Hillary Clinton, en proclamant sa victoire dans le Kentucky, a fait clairement savoir qu'elle n'avait aucune intention de se retirer avant la fin des primaires démocrates, le 3 juin. "Cette course à l'investiture démocrate est l'une des plus serrées de l'histoire moderne", a-t-elle déclaré. "Nous avons le vote populaire, et je suis plus déterminée que jamais à faire en sorte que chacun vote et que chaque bulletin soit compté."

Avant les scrutins de mardi, Obama comptait 1 915 des 2 026 délégués élus et superdélégués nécessaires à l'obtention de l'investiture. Selon son équipe, s'il se débrouille bien dans les scrutins à venir, il lui suffira de récolter les voix de 25 superdélégués, ces personnalités démocrates qui ont le statut de délégué sans avoir été désignées par une primaire – 221 d'entre eux n'ont pas encore pris parti ; Obama engrange tous les jours de nouvelles déclarations de soutien.

Le sénateur a célébré l'occasion en tenant un discours dans l'Iowa, un geste hautement symbolique puisque c'est cet Etat qui avait lancé sa campagne en lui donnant, le 3 janvier, une large victoire. Après l'Iowa, qui s'annonce comme un Etat très disputé cet automne, Barack Obama semble se concentrer désormais sur la lutte qui l'opposera à John McCain, lequel représente selon lui un troisième mandat pour le président Bush.


Adam Nagourney, Jeff Zeleny
The New York Times

Courrier international - 4 juin 2008

Les titres
Barack Obama remporte l'investiture démocrate

Les journaux américains et du monde entier en font leur une : Barack Obama a obtenu le nombre nécessaire de délégués pour devenir le candidat démocrate à la présidentielle américaine. L'événement est partout qualifié d'"historique". Le sénateur de l'Illinois est le premier candidat noir en course pour la magistrature suprême. Il sera officiellement désigné lors de la convention démocrate qui se tiendra à Denver fin août.

The Washington Post

Barack in St. Paul, Minnesota
http://my.barackobama.com/page/content/june3rd/

From TIME:

How did he do it? How did Obama become the first Democratic insurgent in a generation or more to knock off the party's Establishment front runner? Facing an operation as formidable as Clinton's, Obama says in an interview, "was liberating ... What I'd felt was that we could try some things in a different way and build an organization that reflected my personality and what I thought the country was looking for. We didn't have to unlearn a bunch of bad habits."

When Betsy Myers first met with Obama in his Senate office on Jan. 3, 2007, about two weeks before he announced he was forming an exploratory committee to run for President, Obama laid down three ruling principles for his future chief operating officer: Run the campaign with respect; build it from the bottom up; and finally, no drama.

... Obama's Chicago headquarters made technology its running mate from the start. That wasn't just for fund-raising: in state after state, the campaign turned over its voter lists — normally a closely guarded crown jewel — to volunteers, who used their own laptops and the unlimited night and weekend minutes of their cell-phone plans to contact every name and populate a political organization from the ground up.

... "What I didn't anticipate was how effectively we could use the Internet to harness that grass-roots base, both on the financial side and the organizing side," Obama says. "That, I think, was probably one of the biggest surprises of the campaign, just how powerfully our message merged with the social networking and the power of the Internet."

... "As somebody who had been a community organizer," Obama recalls, "I was convinced that if you invited people to get engaged, if you weren't trying to campaign like you were selling soap but instead said, 'This is your campaign, you own it, and you can run with it,' that people would respond and we could build a new electoral map."

... the way Obama organizations sprang up organically in almost every congressional district in the country meant that by the time Obama's field organizers arrived in a state, all they had to do was fire up an engine that had already been designed and built locally. "We had to rely on the grass roots, and we had clarity on that from the beginning," says Plouffe.

... Obama has already changed the way politics is practiced in America — and he is poised to keep doing so. After delivering his dramatic victory speech in St. Paul, Minn., Obama walked offstage and spent the next 45 minutes signing dozens and dozens of his books that had been brought to the Xcel Center by admirers. When he finished, he happened to see fund raiser Dornbush and told him, "Enjoy the celebration tonight." Then Obama took a few steps, turned around and added, "But it's right back to work tomorrow."


From the New York Times:

Senator Barack Obama, in his first day as the Democrats' presumptive presidential nominee, plunged into the thicket of Middle East politics on Wednesday with comments on the status of Jerusalem and deterrence of Iran's nuclear ambitions.

Speaking before the annual conference of the American Israel Public Affairs Committee, the nation's foremost pro-Israel lobby, Mr. Obama endorsed a two-state Israel-Palestine settlement, but also insisted that Jerusalem should remain both the capital of the Jewish nation and undivided.

Mr. Obama, who was introduced as the Democratic nominee and received a hearty ovation, also drew contrasts with President Bush and with Senator John McCain of Arizona, the likely Republican nominee. Mr. Obama said he differed substantially with both of them on matters of timing and approach to various Middle East issues, including Iran's expansionist goals.

"I won't wait until the waning days of my presidency," Mr. Obama said, in a slap at Mr. Bush. "I will take an active role and make a personal commitment to do all I can to advance the cause of peace from the start of my administration."

Mr. Obama defended his willingness to negotiate with the nation's enemies, but coupled that with a pledge of unstinting support for Israel's security.

... Mr. Obama concluded by invoking the memory of the many Jews who joined the American civil rights struggle, and referred to the fraying of that alliance.

"This is a bond that must be strengthened," Mr. Obama said. "Together, we can rededicate ourselves to end prejudice and combat hatred."


From the Washington Post:

Sen. Claire McCaskill (Mo.), a self-described "rabid" Obama supporter, said she spoke to him by telephone Tuesday afternoon and urged him to savor the moment. "I said, 'Hey, take a minute tonight to quit doing what you always do' -- and before the conversation was over he did what he always does," which is to look ahead to the next battle, against McCain.

Sen. Amy Klobuchar (Minn.) joined Obama on the flight back to Washington that night, which took off from Minneapolis at 1 a.m. Eastern time. Despite the late hour, no one seemed tired, the freshman senator noted, and Obama's aides were "jubilant."

But she said that Obama cautioned the group, "You don't cut down the basketball nets in the middle of the conference championship." As he talked over the AIPAC speech and teased his aides through the bumpy flight, Obama seemed "steady and upbeat and ready to go," Klobuchar said.

Obama told reporters in Washington that he is humbled by the path he has blazed.

"You think about all the people who have knocked down barriers for me to walk through this door," he said. "And the challenges they went through, which were so much more difficult and so much more severe. And the risks they took were so much greater." As he spoke in St. Paul on Tuesday night, he said, "it struck me that this was a testimony to them."

After casting a vote on a budget bill, Obama flew to New York for party fundraisers. Aides said his one goal for the evening was to squeeze in a run before going to bed.

"He's a little tired to be euphoric," said his chief political strategist, David Axelrod. "He did his AIPAC event, he ran into Hillary, he voted in the Senate. It was a pretty low-key day."

Courrier international - 4 juin 2008

Article
ÉLECTIONS AMÉRICAINES - La victoire épique de Barack Obama

En remportant, mardi 3 juin, la course à l'investiture démocrate, le sénateur de l'Illinois est entré dans l'Histoire. Parce qu'il est le premier Noir à devenir le candidat d'un grand parti et parce qu'il a su, en partant de rien, se hisser au sommet.

Il ne manquait que les canons à confettis, les lâchers de ballons et les écrans affichant 2 118, le nombre magique de délégués à atteindre pour être sûr de l'investiture du Parti démocrate. Mardi 3 juin, Barack Obama a proclamé sa victoire de façon singulière, en tenant un discours électoral sur le site qui accueillera la convention républicaine du mois de septembre. Le sénateur de l'Illinois a finalement été propulsé vers l'investiture démocrate par un afflux soudain de superdélégués, ces membres du Congrès et personnalités du parti que l'on soupçonnait jadis de fomenter une cabale pour sauver Hillary Clinton.

Si la victoire d'Obama est historique, ce n'est pas seulement parce qu'il est noir. C'est aussi la première fois depuis William Jennings Bryan, en 1896, et Woodrow Wilson, en 1912, que les démocrates choisissent un candidat aussi nouveau sur la scène nationale. Il y a cinq ans, Obama était un membre du Sénat de l'Illinois pratiquement inconnu qui se lançait à la conquête d'une place au Sénat des Etats-Unis. Songez à tous les démocrates ambitieux qui ont lorgné sur la Maison-Blanche au cours de la dernière décennie – John Kerry, John Edwards, Howard Dean et tous les autres – et voyez comment Obama leur est passé devant, sans même donner l'impression de verser une goutte de sueur. Voilà un candidat parti de rien et qui ridiculise tous les hommes politiques modernes. Même si son charisme tranquille rappelle celui de John Fitzgerald Kennedy, JFK, lui, a passé quatorze ans au Congrès de Washington avant de briguer la présidence, en 1960.

Si l'on envisage les choses d'une manière conventionnelle, Hillary Clinton avait tout pour être la candidate démocrate. Après avoir trébuché dans l'Iowa le 3 janvier, elle a fait un retour miraculeux cinq jours plus tard dans le New Hampshire. Dans les cordes après les triomphes d'Obama en février, elle est revenue en force au mois de mars en remportant les primaires de l'Ohio et du Texas. L'héritage politique de son mari, son avantage financier initial et le fait qu'elle soit parvenue à presque faire oublier son vote indéfendable en faveur de la guerre en Irak, tout cela aurait dû lui valoir la victoire.

Au lieu de cela, Hillary Clinton s'est retrouvée, mardi 3 juin, dans le gymnase d'une petite université de New York à essayer de donner l'illusion de sa victoire après une défaite bien réelle. Au début de son discours, elle a certes félicité "le sénateur Obama et ses partisans pour la campagne extraordinaire qu'ils ont menée", mais le ton employé n'était pas celui d'une candidate reconnaissant sa défaite, mais plutôt celui d'une femme triomphante accordant quelques mots aimables à un ennemi vaincu.

Hillary Clinton a pourtant fini par aborder la question que tout le monde se pose en disant "je crois savoir que beaucoup de gens se demandent : 'que veut Hillary ?'"
Elle a commencé à répondre en énumérant une série de positions politiques qu'Obama et pratiquement tous les démocrates ne renieraient pas. "Je veux mettre fin à la guerre en Irak. Je veux faire repartir l'économie. Je veux que chaque Américain ait la possibilité de se faire soigner", a-t-elle déclaré avant de lancer la phrase la plus révélatrice de toute la soirée : "Et je veux que les près de 18 millions de personnes qui ont voté pour moi soient respectées, entendues, ne soient plus invisibles."

Peu importe l'expérience politique, l'impénétrabilité, peu importe les applaudissements, au bout du compte tout s'est résumé à Aretha Franklin et à son fameux R-E-S-P-E-C-T [titre de la plus célèbre chanson de la crooneuse africaine-américaine]. Hillary Clinton semble aujourd'hui déterminée à suivre son propre calendrier pour sortir de la course, mais l'impatience de la direction du Parti démocrate est telle que son désistement pourrait n'être qu'une question d'heures.

La seule véritable question qui demeure est : qui se tiendra à côté d'Obama les bras levés sous les confettis et les ballons lors de la convention nationale démocrate de Denver ? On peut avancer, sans trop de risques de se tromper, que ce que Hillary Clinton considérerait aujourd'hui comme une marque de R-E-S-P-E-C-T serait de figurer sur le ticket présidentiel au poste de vice-présidente.


Walter Shapiro
Salon

http://www.hillaryclinton.com/splash/june7/

http://blog.hillaryclinton.com/blog/main/2008/06/08/013052

http://my.barackobama.com/page/s/thankyouHRC?source=feature_thankyou?source=feature_thankyou

Barack Obama
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